Une carte interactive de Twitter révèle la popularité des clubs de la Premier League selon leurs followers. Manchester United est en tête en Asie, Chelsea en Amérique du Sud, Arsenal en Amérique du Nord et Liverpool en Australie. Arsenal domine globalement avec 5,6 millions de followers, suivi par Chelsea (5,4 millions) et Manchester United (4,8 millions).
La popularité des clubs de la Premier League, selon le nombre de followers sur Twitter, est révélée grâce à une carte interactive conçue par Twitter. Elle décompose le soutien des clubs à l’échelle mondiale et au niveau des circonscriptions au Royaume-Uni. Les grands clubs dominateurs comme Manchester United, Liverpool, Arsenal et Chelsea occupent une place prépondérante, reflétant une base de fans massive à travers différentes régions du monde.
Manchester United se distingue particulièrement en Asie, tandis que Chelsea jouit d’un fort soutien en Amérique du Sud. À l’autre bout, Arsenal brille en Amérique du Nord et dans la majeure partie de l’Europe. Liverpool captent une large part de soutien en Australie et dans certaines zones du Sud-Est asiatique.
Le développement de cette carte interactive offre une nouvelle perspective sur les batailles de popularité dans le monde du football. Les fans peuvent explorer le soutien à leur club, avant de comparer des rivaux pour une vue d’ensemble sur le paysage global de la Premier League.
Les données montrent qu’Arsenal mène avec 5,6 millions de followers, suivi de Chelsea avec 5,4 millions et de Manchester United à 4,8 millions. Le soutien des clubs varie en fonction des héros nationaux, avec des clubs comme Chelsea et Liverpool ayant des racines de popularité dans des pays grâce à des joueurs emblématiques.
Des tendances sont observées sur le soutien des clubs, comme la présence des stars ayant un impact sur la popularité dans divers pays. Arsenal a dominé en Amérique, tandis que Chelsea et United se partagent d’autres régions. Chaque club continue de chercher à élargir sa base de fans, en utilisant Twitter comme nouveau champ de bataille.
Source Originale: www.dailymail.co.uk